A la suite de plusieurs sources, l’un des précurseurs du coupé-décalé, Molare Oumar confirme le décès du chanteur controversé, S Kelly, dit L’Oiseau Rare, à travers un message émouvant.

Skelly de son vrai nom Eric Parfait Francis Taregue, n’est plus. L’information est tombée ce mercredi 25 Août comme un coup de massue, envahissant avec inquiétude les réseaux sociaux. Elle avait été partagée par plusieurs médias locaux et dans le cercle du showbiz. Cependant, voir Soumahoro Mauryféré dit Molare, le Boss du Coupé-décalé réagir là-dessus, était longuement attendu par les ivoiriens. Donnant l’impression que sa sortie, sinon la confirmation par lui faite, enlèverait tout doute. Surtout qu’un faux compte dénommé « Skely Taregue officiel » avait par la suite démenti la triste nouvelle. 

« Je ne suis pas mort. C’est cette même méchanceté vous avez fait et on a perdu Arafat alors moi je vivrai longtemps car abla Pokou agit toujours. Mon compte a juste été sauté sinon je prépare actuellement un son pinpan appelé le Kaka n’gnolai. L’oiseau rare est encore plein d’énergie alors allez y tuer Neguy plasmo le petit Rappeur impoli là. Si je l’attrape. Il a osé me traiter de fou. Je vais puriger son boda », pouvait-on lire sur le profil usurpateur.

Mais rien n’y fait ! Hélas, c’est vrai, le fils d’Abla Pokou a quitté la terre des vivants ce jour. « Notre plus grand philosophe s’en est allé. Mes condoléances à la famille biologique, à son épouse, aux membres de notre genre musical et à toutes les corporations de l’art en Côte d’Ivoire ainsi qu’à ses fans et à toute la nation. PAIX à ton âme l’oiseau rare 🙏🏾 », a écrit le Boss de M Group sur sa page officielle « Molare Inter artiste ».

Pour ce que l’on sait, Skelly est décédé d’un cancer de poumon. On le savait malade depuis une semaine et hospitalisé. C’est un coup dure pour sa famille, pour le monde du showbiz et toute la Côte d’Ivoire. Il était su de tous depuis peu, que l’artiste préparait discrètement la célébration de ses 15ans de carrière. Un gros événement qui devait se faire en deux phases : spectacle à Abidjan au Palais de la culture et ensuite, dans le Gbêkê, à Bouaké, à la Place du Carnaval… Grosse perte !

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