Ivoiriennes, ivoiriens, Mes chers compatriotes, je voudrais ici, vous faire part de la raison pour laquelle, je fais l’objet d’un tel acharnement médiatique de la part de certaines personnes au sein de la SGBCI. En effet, le deal est bien plus profond que 450M, et le déferlement de publications et les détails divulgués montrent bien une volonté manifeste de me nuire et de me faire taire, quand on sait bien qu’il y a une enquête qui suit son cours.
Jean-Jacques GNANGNE fait des révélations
En vérité, la SGCI ne souhaite pas que je révèle la plus grosse arnaque bancaire du siècle qui a été soigneusement mise en place et cela depuis plusieurs années par ce groupe. J’ai dans le cadre de mes prestations au sein du groupe, eu l’opportunité de travailler sur un projet (TARIF) pour plusieurs filiales du groupe, et qui consistait à quantifier les trop-perçus que les filiales ont eu sur les facturations pour plusieurs lignes de produits et services. Il en est ressorti des informations accablantes surtout pour la SGCI et ce sont ces informations et ces chiffres compromettant pour la banque et son image que cette façade de désinformation essaie de dissimuler.
J’ai d’ailleurs des évidences et des éléments pour corroborer ces informations. En termes simples, la SGCI vole et escroque tous ses clients et fait de la concurrence déloyale à ses concurrents et aucun régulateur n’a la capacité de les démasquer. J’assume ce que j’ai fait, en fraudant, mais je remarque que les plus grands voleurs ont le vol en horreur. J’ai agit sans complicité aucune, interne ni externe et personne dans mon entourage n’a jamais rien su de la provenance des fonds jusqu’à ce que cela éclate.
Les dés sont donc jetés, et si je suis pris, je vais assumer mes actes, mais que l’opinion publique nationale sache que la SGCI est la banque qui a réussi à mettre en place un système sophistiqué de surfacturation qui leur fait avoir des trop-perçu astronomiques: Par exemple, rien que sur les arrêtés de compte, tous les clients sont en surfacturation par rapport aux taux officiels affichés et rien que sur les intérêts débiteurs, la plus-value s’élève à plus de 3 milliards par mois.
Je ne suis qu’un petit informaticien stupide, mais j’espère que cette affaire ouvrira les yeux aux ivoiriennes et ivoiriens pour qu’ils voient que certaines banques sont à éviter et qu’il est temps que les banques servent vraiment les gens honnêtement.
GNANGNE Lasme Jean-Jacques