L’actualité politique se taille la part du lion, ce mercredi 23 décembre 2020. La presse ivoirienne rapporte ce que Ouattara prépare à nouveau pour les producteurs de cacao. Quand des militaires mis aux arrêts lors des concours professionnels.
« Après l’augmentation du prix du Cacao à 1000 fcfa : Ce que Ouattara prépare à nouveau pour les producteurs » écrit en grand Le Jour plus. Il est question dans ses lignes de l’action que prévoit l’Etat de Côte d’Ivoire dans huit ans. Une information livrée par le directeur général du Café Cacao, Yves Koné Brahima qui était face aux député le mardi 22 décembre 2020. Il dit « le souci permanent des autorités ivoirienne, est le bien-être des planteurs.
D’ici à 8 ans, la Côte d’Ivoire va transformer le cacao sur place ». En retour, le Chef de l’Etat souhaite que la position de la Côte d’Ivoire en matière de Café et Cacao reste stable. « Demeurez premier n’est pas une évidence, il faut toujours travailler. Le président de la République dit de ne pas descendre en dessous de 60% du prix international » a-t-il ajouté.
La grande muette est touchée ce jour par les médias. Et, pour une affaire d’escroquerie qui a explosé. Soir Info nous en donne les détails. « Concours professionnels : des militaires mis aux arrêts » titre à sa une le quotidien. Il explique dans ses colonnes qu’un officier et sous-officier de l’Armée ont promis la réussite aux concours de l’Ecole des forces armées et du Cafop. Promesse non-tenues qui a poussé les victimes, qui ont dépensé plus de 10 millions de Frcfa, à porter plainte. L’affaire a été mise au grand jour par le tribunal militaire d’Abidjan (Tma) sur les réseaux sociaux. La prison les attend, à en croire le confrère.
L’investiture d’Alassane Ouattara n’a pas permis de calmer les tensions qui existent dans la politique en Côte d’Ivoire. Avant la tenue des élections, l’Eglise Catholique a fait sortie concernant la candidature d’Alassane Ouattara et elle continue de se prononcer, jusqu’aujourd’hui, comme le fait savoir Le Temps. « Tensions sociopolitiques : L’Eglise Catholique continue de parler à Ouattara » affiche le journal. Il cite Mgr Marcellin Kouadio qui martèle « sortons des divinités politique du mensonge et des violences » mais également Norbert Abékan qui laisse entendre « La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de paroles creuses ».