Doumbia Major, de son vrai nom Soumaïla Doumbia, président d’un petit parti politique, partisan du RHDP a accusé nommément Charles Blé Goudé, d’avoir « assassiné impunément » certains de ses camarades, pendant la période du coup d’Etat de 1999, sans apporter ni preuves, ni détails.
Dans un post sur Facebook, ce vendredi 25 décembre 2020, Doumbia Major, qui a souvent multiplié les accusations contre le secrétaire général de la Fesci, au moment des faits, a poussé un peu plus ses accusations.
« C’est à l’occasion de cette gouvernance FPI du pouvoir en partage avec le général Guei, que nos camarades ont été assassiné impunément par Blé Goudé, avec l’appui des Seka Seka (aide de camp de Simone Gbagbo) et autres militaires FPI », a-t-il indiqué.
Notons qu’en 2000, Seka Seka cité par Doumbia, actuellement en prison, pour son rôle joué dans la mort de Robert Guéi, n’était pas aide de camp de Simone Gbagbo, comme l’auteur le prétend. Une faille dans ses accusations.
Ses allégations qui se rapporte à un pseudo docteur en perdition doivent elles être prise en compte par l’opinion publique nationale crédible ?
La réponse est simplement NON, car l’histoire de ce pays est trop récente pour qu’un individu qui pue le sang des ivoiriens à plein nez à travers sa participation active dans la Rébellion armée qui a endeuillées les ivoiriens de 1999 avec d’abord Ibrahim Coulibaly dont il était conseillé spécial puis sa participation active à partir de 2002 jusqu’à 2011 qui lui vaut aujourd’hui les privilèges dont il jouit. Une telle personne veut sûrement essayer de se décharger des âmes de ses victimes qui ante ses nuits en les attribuant en vain à son ancien camarade de lutte syndical des années universitaires dont les routes se sont séparés depuis qui l’un (Doumbia Major) a préféré celle des armes et du meurtre et l’autre (Charles Blé Goudé) celle de la démocratie, de la forces des idées et du dialogue inclusif.
JEAN CHRISTOPHE KRAGBÉ GNAGBÉ