« Les femmes du GPS de Guillaume Soro étaient mes voisines de cellule. Leur libération m’a donné une lueur d’espoir. C’est vrai que les choses traînent mais mon moral est au beau fixe.
Je ne regrette pas le combat que j’ai mené contre le 3ème mandat du Président Alassane Ouattara. Je n’ai rien fait de mal si ce n’est revendique le respect de la constitution et user de mon droit de manifester.
Je ne regrette pas le combat que je mène. Non pas du tout ! On peut regretter certaines démarches du combat, mais pas le combat lui-même.
(…) J’ai reçu à la MACA plusieurs émissaire qui m’ont demandé de mettre de l’eau dans mon vin. Je leur ai répondu que mon rôle, est de dénoncer les injustices et abus. Tant qu’il y’aura une mauvaise gouvernance, je continuerai de dénoncer . Je ne négocierai jamais ma sortie.
Je reconnais que beaucoup de choses , à un certain niveau ont été faîtes pour demander ma libération mais le pouvoir campe sur sa position. »