Dans une publication en date du jeudi 7 octobre 2021 sur son compte, la chanteuse camerounaise Sophie Dencia a accusé à nouveau le ministre de la Réconciliation nationale Kouadio Konan Bertin (KKB) sans le citer nommément de l’avoir accusé de vol. Elle a rassuré que « ce procès aura lieu » avant de supprimer la publication plus tard.
L’affaire entre Sophie Dencia et le ministre de la Réconciliation nationale, Kouadio Konan Bertin (KKB) connait un nouveau rebondissement. En effet, après l’avoir accusé de viol, la chanteuse camerounaise a fait une nouvelle accusation le jeudi 7 octobre 2021 à l’encontre du ministre sur son compte sans toutefois le nommer. Elle l’a fait savoir dans un français approximatif truffé de fautes sur le réseau social. Mais pour le confort des lecteurs nous avons corrigé le texte.
« Après m’avoir accusé sans preuve de t’escroquer la somme de 250 millions FCFA, tu as payé plus de 10 millions FCFA pour que les cyberactivistes me salissent et m’insultent. Après c’est une vidéo XXL de ta … zambienne que tu voulais me coller au corps. Aujourd’hui c’est mon S8 qui date de 2018 que tu montes tout d’un coup pour que la police criminelle m’enferme sous prétexte que c’est un téléphone volé. Mon cher, j’ai les factures et tous les papiers de mon téléphone acheté à Paris d’ailleurs, j’ai encore le carton. Cherche un autre prétexte mais ce procès aura lieu au nom de Jésus Christ.
Tes menaces et intimidations pour que je retire ma plainte ne marcheront pas…et je place entre toi et mes détracteurs le bouclier de la foi qui est Jésus Christ l’Eternel des Armées en son saint nom vous êtes (…) », a publié la camerounaise sur son compte avant de supprimer la publication quelques instants après.
Notons que cette affaire a fait le tour des réseaux sociaux suscitant de nombreux commentaires. Interrogé sur la question le mardi 28 septembre 2021 à l’émission ‘’RTI1 Reçoit’’, le ministre avait exprimé son innocence. Il avait promis que les jours à venir ses avocats donneront plus de détails sur cette affaire.
« Merci de me donner l’occasion d’évoquer cette question parce que par respect pour les Ivoiriens on ne peut pas venir à la télévision nationale là où ils payent leur redevance, nous séparer et faire comme si cette affaire n’a pas existé. C’est pourquoi je dis pour respect pour les Ivoiriens je vous remercie de m’en parler et de me donner l’occasion d’en dire un mot.
Je vais rassurer les Ivoiriens pour leur dire que je n’ai rien à me reprocher sauf que c’est un dossier pénal qui est aujourd’hui entre les mains de la justice. Et il appartient à mes avocats de l’évoquer les prochains jours. Ils vont donner quelques éléments qui vont les rassurer davantage », avait répondu l’ancien président des jeunes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).