« Les enfants d’Houphouët-Boigny, les vrais, sont en ordre de bataille », a déclaré Yasmina Ouégnin aux militants du PDCI de Didiévi.
C’est au nom du ministre Maurice Kakou Guikahué, secrétaire exécutif en chef du Pdci-Rda qu’elle a pris la parole, le samedi 12 mars dernier à Didiévi, où se déroulait la rentrée politique des cinq délégations. La députée de Cocody, Yasmina Ouégnin, dans son adresse, a mis chacun en mission.
« Levez-vous, fiers, déterminés et sûrs de vos forces, en sachant que comme vous, partout en Côte d’Ivoire, les enfants d’Houphouët-Boigny, les vrais, sont en ordre de bataille pour ne plus laisser la place à l’amateurisme politique, à la division, au mensonge et à la démagogie », a indiqué la députée de Cocody.
« Il vous faut aller dans les villes, les villages, les campagnes, les hameaux les plus reculés afin de sensibiliser nos braves populations sur la nécessité d’obtenir leurs cartes d’identité et toutes leurs pièces administratives. Faites-leur bien comprendre que sans ces documents, il est difficile d’affirmer son choix politique dans les urnes… », a-t-elle fait savoir.
Yasmina Ouégnin et les enfants d’Houphouët
Avant d’exposer les valeurs de l’offre politique du Pdci-Rda « que sont le dialogue inclusif, l’acceptation des différences, la garantie de la liberté de pensée et d’action, la tolérance, le respect des lois que nous nous sommes prescrites, la valorisation des droits de tous et de chacun, et certainement, le respect de la vie humaine ».
« Dans une société ivoirienne où l’arrogance et le mépris sont, de nos jours, servis, donnez en échange, la modestie, la simplicité, le compromis, l’écoute et la détermination à vivre dans la concorde et la paix. Ces notions, nous en convenons tous, sont des assurances que nous donnons pour une Côte d’Ivoire différente, une Côte d’Ivoire meilleure… », a-t-elle laissé comme consigne.
Abordant le sujet de la gouvernance notamment la gouvernance locale qui doit apporter une plus-value à la Côte d’Ivoire, Yasmina Ouégnin d’indiquer : « N’ayons pas peur de faire un examen clinique très précis des maux qui minent notre pays. Et c’est en saisissant au mieux les attentes des uns et des autres, c’est en étant dans la proximité, que nous serons en capacité d’apporter des réponses appropriées aux préoccupations de nos concitoyens (…) », a-t-elle relevé.
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