Un an après la mort du Colonel-Major Issiaka Ouattara dit Wattao, un cyber-enquêteur croit savoir qui est le commanditaire et qui fut l’exécutant de ce qu’il décrit comme un assassinat planifié au plus haut niveau de l’Etat ivoirien.

Selon Chris Yapi, un cyber-activiste passé maître dans l’art d’espionner les autorités ivoiriennes, Ouattara Issiaka dit Wattao célèbre chef rebelle et officier de l’armée sous Ouattara, a été tué par deux empoisonnements successifs.

A en croire cet enquêteur virtuel très proche du mouvement politique de Guillaume Soro, Wattao a été exécuté par une femme dont il s’était entiché. A en croire Chris Yapi cette dernière est un sous-officier de l’armée ivoirienne. Et elle répondrait aux initiales de S.O.

Dans ces accusations, Chris Yapi indique que cette dame est “belle, claire et grande de taille” et n’a pas eu de mal à séduire le Colonel-Major Wattao. Il ajoute que cette dame est une proche d’un homme de confiance d’Alassane Ouattara, nommé Lass Pr, en plus d’avoir des atomes crochus avec le Premier Ministre et Ministre de la Défense Hamed Bakayoko.

Chris Yapi insiste sur le fait que “certains amis du Colonel Wattao l’ont mis en garde sur cette fille qui venait d’apparaitre dans sa vie et qui visiblement semblait amoureuse de lui”. Mais selon toujours Chris Yapi, Wattao n’a jamais cru que cette dame pouvait attenter à sa vie.

“Il était tellement amoureux et si attaché à elle qu’il ne voulait pas croire aux mises en garde de ses amis” regrette l’enquêteur qui révèle que la dernière fois que Wattao a été vu avec cette dame, c’était à l’hôtel Azalai à Marcory, un quartier au sud d’Abidjan. Et c’est ensuite qu’il aurait été empoisonné une première et une seconde fois.

Chris Yapi dont on connait “le grand amour” pour Hamed Bakayoko allègue que ce dernier aurait envoyé le soldat S.O, amante supposée de Wattao en formation au Gabon pour un stage d’officier. Il s’agirait selon Chris Yapi d’une manœuvre pour effacer des traces.

Chris Yapi qui ressasse toujours dire la vérité ne relève pourtant pas l’identité complète de la supposée amante qui aurait tué Wattao. Il laisse les proches de Wattao deviner qui était le sous-officier S.O dont il aurait été proche avant la dégradation de sa santé. Les autorités ivoiriennes n’ont jamais commenté ces accusations

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